Clara, 18 ans, vit sa première année de prépa avec intensité.
Inscrite en PCSI (physique, chimie, sciences de l’ingénieur), Clara savait que la prépa serait difficile, mais elle ne s’attendait pas à un rythme aussi soutenu. Entre cours, devoirs surveillés, colles et révisions, ses journées commencent tôt et finissent tard. Pourtant, elle garde son cap : intégrer une école d’ingénieurs dans le domaine spatial. Pour elle, chaque effort est un investissement pour l’avenir. Elle apprécie aussi l’émulation collective de sa classe, où l’entraide joue un rôle crucial pour tenir la cadence.
“Oui, c’est difficile, mais je sais pourquoi je le fais : je veux travailler un jour sur des satellites.”
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La rigueur comme passage obligé
Clara apprend à gérer la pression, mais aussi à trouver un équilibre en s’accordant des moments de pause. Elle participe à un club de sport le week-end, convaincue que l’activité physique est indispensable pour garder le moral. Elle voit la prépa comme une étape transitoire : exigeante, mais pleine d’enseignements sur soi-même et sur sa capacité à persévérer.
